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Conseil des ministres du 23 mars 2016

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Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce mercredi 23 mars 2016, à 10 heures, au Palais de la République.

A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat félicite tous les sénégalais qui se sont mobilisés à l’occasion du Référendum du 20 mars 2016, pour accomplir, dans le calme et en toute responsabilité, leur devoir citoyen. Il associe à ses félicitations le Ministre de l’Intérieur, les Forces de défense et de sécurité, l’Administration territoriale, la Direction générale des élections, la CENA, les autres services de l’Etat et tous les acteurs du processus, qui ont permis la bonne organisation du scrutin sur l’ensemble du territoire national et à l’étranger.
En attendant la proclamation officielle des résultats du référendum, les chiffres provisoires indiquent la victoire du « OUI » et consacrent la validation, par le Peuple sénégalais souverain, du projet de révision de la Constitution. Dès lors, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement d’engager les diligences nécessaires à l’adoption et à l’entrée en vigueur, dans les meilleurs délais, de tous les textes législatifs et réglementaires relatifs à la révision de la Constitution.
Concluant sur ce point, le Président de la République rappelle au Gouvernement l’importance primordiale qu’il accorde au dialogue politique, gage de la modernisation de notre système démocratique, et l’impératif d’intensifier les réalisations du Plan Sénégal Emergent, afin d’asseoir dans l’équité, le bien être durable des populations.
Saisissant par ailleurs la célébration de la fête de Pâques, le Chef de l’Etat adresse, au nom de la Nation, ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux à la communauté chrétienne, en cette période sainte de communion, de ferveur religieuse exceptionnelle et de prière, pour la paix, la stabilité et la prospérité du Sénégal.
Poursuivant son propos autour de la priorité spéciale que constituent le désenclavement et la redynamisation économique de la Casamance, le Chef de l’Etat rappelle les efforts importants et soutenus consentis par l’Etat pour le développement durable de la zone Sud du Sénégal, notamment la réalisations d’infrastructures routières et maritimes de grande envergure, le statut de zone touristique prioritaire d’intérêt national conféré à la Casamance, la baisse du billet du bateau entre Dakar et Ziguinchor à cinq mille (5000) FCFA, le Projet Pôle de Développement de la Casamance (PPDC) dont les premiers résultats sont fort encourageants.
Dans cette dynamique, le Président de la République engage le Gouvernement à accélérer les travaux de la section restante de la RN6, à entamer, dans les meilleurs délais, des concertations régulières avec tous les acteurs du transport et à poursuivre le dialogue fécond avec le Gouvernement du pays frère de la Gambie, en vue de trouver des solutions durables pour assurer la continuité permanente de la desserte terrestre de la région naturelle de Casamance.
Abordant enfin la nécessité de renforcer le pilotage stratégique des grands projets présidentiels, notamment le Train Express régional (TER) Dakar-Diamniadio-AIBD qui est l’un des projets phares de son mandat, le Chef de l’Etat rappelle au Gouvernement l’urgence de faire prendre toutes les dispositions techniques, administratives et financières, afin d’assurer le lancement effectif des travaux du TER, dans le courant de l’année 2016, et de veiller au cadrage optimal du schéma de financement et de l’agenda de réalisation du TER.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et le suivi de la coopération, notamment en informant le Conseil du voyage qu’il a effectué le samedi 19 mars 2016, en Côte d’Ivoire, pour présenter ses condoléances et celle de la Nation, au Peuple ivoirien frère et lui exprimer notre solidarité, suite à l’attentat terroriste perpétré à Grand Bassam le 13 mars dernier.
Le Premier Ministre a axé sa communication du jour sur l’accélération de la réalisation des projets d’infrastructures, le développement des secteurs productif et social, avant de rendre compte de la coordination de l’activité gouvernementale.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine et internationale.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale, avant de rendre compte de la mission effectuée par le Fonds Monétaire International (FMI), du 01er au 11 mars 2016, au Sénégal.
Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a rendu compte de l’organisation du référendum du 20 mars 2016 qui s’est bien déroulé sur toute l’étendue du territoire national et à l’étranger.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait part au Conseil de la préparation de la campagne de contre-saison et du suivi de la campagne de commercialisation agricole.
Le Ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service public a fait le point de la préparation du Forum national de l’Administration prévu les 09 et 10 avril 2016 au Centre international de Conférences Abdou DIOUF de Diamniadio (CICAD).
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a rendu compte de l’état d’avancement des différents projets et réformes.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
  • Monsieur Amadou DABO, Ambassadeur, précédemment Directeur des Partenariats et de la Promotion économique et culturelle au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Andrzej DUDA, Président de la République de Pologne, en remplacement de Monsieur Khaly Adama NDOUR, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Abdourahmane KOITA, Enseignant-chercheur, est nommé Consul général de la République du Sénégal à Bordeaux, en remplacement de Monsieur Mbaye Lô TALL, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
  • Monsieur Papa Modou NDIAYE, Ingénieur polytechnicien option Génie civil, est nommé Administrateur du Fonds d’Entretien routier autonome du Sénégal (FERA), en remplacement de Monsieur Sagar DRAME, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;
  • Docteur Chérif DIALLO, Enseignant chercheur en Informatique, est nommé Directeur des Technologies de l’Information et de la Communication au ministère des Postes et des Télécommunications, en remplacement de Monsieur Mallé NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement


Résultats provisoires du Référendum constitutionnel

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Dakar, 23 mars (APS)

APSDakar, 23 mars (APS) - La commission nationale de recensement des votes (CNRV) a proclamé, mercredi à Dakar, les résultats provisoires du référendum du 20 mars dernier dans les 12.381 bureaux de vote.
Au total, 12 381 bureaux de vote étaient ouverts dans les 14 régions, 45 départements et 552 communes du pays.
Sur les 5 504 592 d’électeurs inscrits, 2 163 696 ont effectivement participé à cette consultation populaire sanctionnée par 2 144 203 suffrages valablement exprimés. 19644 bulletins nuls étant recensés lors de ce référendum qui a enregistré un taux de participation de 38,26%
Le courant du Oui est sorti vainqueur du référendum avec 1 357 412 voix, soit 62,70% et le camp du Non engrangeant 807 255 voix, soit 37,29%
Le Conseil constitutionnel est la juridiction habilitée à proclamer les résultats définitifs de cette consultation lors de laquelle un peu plus de 5,5 millions citoyens sénégalais étaient appelés aux urnes pour valider ou rejeter une réforme constitutionnelle proposée par le président Macky Sall.
Le principal point de cette réforme est la réduction de sept à cinq ans du prochain mandat du président de la République.
De nouveaux pouvoirs de contrôle pour l’Assemblée nationale, la limitation à deux des mandats présidentiels, les droits pour les citoyens sur leur environnement et sur le foncier, l’élection de députés pour les Sénégalais de l’extérieur, ainsi qu’un statut de l’opposition, figurent aussi dans le projet de réforme.
BHC/PON

Article 2

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Rufisque : Diouma Dieng Diakhaté rouvre sa maternité

La patronne de Shalimar couture, Diouma Dieng, a rouvert, hier, les portes de la maternité Dial Basse, du nom de sa mère. Une séance de dépistage gratuit du cancer du sein y a été organisé. Diouma Dieng a profité de la cérémonie de réouverture de ce centre de santé pour réitérer son engagement à servir ses concitoyens. «Je n’ai jamais donné l’ordre de fermer cette maternité.
C’est le ministère de la Santé qui en avait pris la décision», a fait remarquer Diouma Dieng Diakhaté , rapporte “L’Observateur”. «Tout mon souhait, c’est de venir en aide à mes concitoyens et c’est ce qui m’avait poussée à construire cette maternité pour les femmes de ma localité, longtemps confrontées à des difficultés liées à une prise en charge correcte de leurs accouchements», ajoute-t-elle.
La donatrice informe qu’elle a déjà signé une convention avec le ministère et installera un équipement neuf. En tant qu'ambassadrice itinérante, elle  a profité de cette occasion pour demander aux populations de voter “Oui” au référendum. Elle compte d'ailleurs organiser une manifestation pour le triomphe du «Oui » ce mercredi à la mairie de Rufisque.

Auteur: SenewebNews - Seneweb.com


Article 1

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Crise scolaire et universitaire : La Ligue Sénégalaise des Droits humains (LSDH) recommande au gouvernement le respect de ses engagements

La crise scolaire et universitaire s’enlise davantage dans un dialogue de sourds entre les syndicats enseignants et le gouvernement. Cette situation semble préoccupée au plus haut niveau la Ligue Sénégalaise des Droits humains (LSDH). C’est en tout cas ce que nous fait savoir le Secrétaire Exécutif, Alassane Seck.


« Les accords entre le gouvernement et les syndicats d’enseignements n’ont jamais été respectés conduisant ainsi à un cycle permanent de grèves et autres perturbations de l’espace de l’enseignement et de la formation », s’est désolé le secrétaire exécutif de la LSDH qui est d’avis que ce cycle de revendications a conduit à l’exacerbation des positions et tend à installer une situation d’enlisement de la crise qui, si on n'y prend pas garde, risque d’avoir des conséquences incalculables. 
C’est pourquoi, encourageant le gouvernement à la mise en œuvre d’un dialogue fécond empreint de dépassement et de concessions de part et d’autre pour permettre l’application des accords, Alassane Seck recommande fortement au gouvernement d’endiguer ces sombres perspectives et prendre à bras le corps cette situation extrêmement sérieuse en mettant en œuvre rigoureusement les accords signés entre les différents syndicats et l’Etat.

dakaractu

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Scan of Shakespeare's Grave Indicates Skull Is Missing

by Reuters


Shakespeare's skull is likely missing from his grave, an archaeologist has concluded, confirming rumors that have swirled for years about grave-robbers and adding to the mystery surrounding the Bard's remains.
Four hundred years after his burial at the Church of the Holy Trinity in Stratford-upon-Avon, central England, researchers were allowed to scan the grave of England's greatest playwright with ground-penetrating radar. In the area under the church floor where the Bard's skull was expected to be, they found signs of interference.
"We have Shakespeare's burial with an odd disturbance at the head end, and we have a story that suggests that at some point in history someone's come in and taken the skull of Shakespeare,"  said archaeologist Kevin Colls from Staffordshire University. "It's very, very convincing to me that his skull isn't at Holy Trinity at all."
The findings deepen the mystery about Shakespeare's last resting place.
The grave does not bear his name, merely this warning rhyme: "Good friend, for Jesus' sake forbear, to dig the dust enclosed here. Blessed be the man that spares these stones, And cursed be he that moves my bones."
Second skull
In their quest to find Shakespeare's skull, Colls' team also investigated a long-standing tale that it was hidden in a sealed crypt in another church 15 miles (24 kilometers) across the English countryside in Worcestershire. But analysis of that skull showed it to be that of a woman who had been in her 70s when she died.
The story of Shakespeare's missing skull appeared in The Argosy magazine in 1879, which blamed the removal on trophy hunters from the previous century when grave-robbing was common.
Skulls were worth collecting because genius, thought some at that time, would be evident in the remains of a man like Shakespeare, whose character Hamlet famously holds a skull while musing on death.
The scan of the grave where Shakespeare's remains rest next to those of his wife, Anne Hathaway, was conducted in a nonintrusive way, said the team, who will present the results in a television documentary due to air in Britain on Saturday.
"There are so many contradictory myths and legends about the tomb of the Bard," Colls said in a statement. "These results will undoubtedly spark discussion, scholarly debate and controversial theories for years to come. Even now, thinking of the findings sends shivers down my spine."

Article 10

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 Conseil des ministres du 30 mars 2016

Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 mars 2016, à 10 heures, au Palais de la République.

Entamant sa communication autour de la célébration, le 4 avril 2016, du cinquante- sixième anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de veiller à la bonne organisation du grand défilé civil et militaire qui aura lieu sur le Boulevard Général De Gaulle ainsi que des autres manifestations prévues à l’occasion de la Fête nationale de l’Indépendance, sur l’ensemble du territoire national et au niveau de nos missions diplomatiques et consulaires. Le Président de la République invite les populations, particulièrement les jeunes, à participer, dans la communion, aux différentes festivités, pour marquer l’attachement patriotique des citoyens à la consolidation de l’indépendance et du rayonnement international du Sénégal.
Abordant l’impératif d’asseoir une politique sportive pluridisciplinaire, exemplaire et performante, le Chef de l’Etat renouvelle ses félicitations aux équipes nationales de basket-ball, de handball et de football et rappelle que le développement du sport dans toutes les localités du Sénégal reste une priorité majeure. A cet effet, il demande au Gouvernement de prendre toutes les diligences requises en vue de réhabiliter le sport scolaire et universitaire, de poursuivre et d’intensifier le programme national de réalisation d’infrastructures sportives multifonctionnelles, de mettre en place un nouveau cadre de gouvernance du sport national, avec notamment, la signature systématique, entre l’Etat et les fédérations sportives, de contrats d’objectifs et de moyens.
Concluant sur ce point, le Président de la République rappelle au Gouvernement la nécessité de veiller, en rapport avec le Comité national Olympique et Sportif sénégalais (CNOSS), à la bonne préparation des athlètes sénégalais, en direction des Jeux olympiques d’été de Rio de Janeiro, au Brésil, et demande au Premier Ministre de présider une réunion spéciale sur la participation du Sénégal à cette importante compétition internationale.
Poursuivant son propos autour du soutien de l’Etat au développement du théâtre sénégalais, le Chef de l’Etat saisit l’occasion de la célébration, le 27 mars 2016, de la Journée mondiale du Théâtre, pour rendre un vibrant hommage à nos artistes comédiens, notamment ceux arrachés à notre affection, pour leur contribution remarquable au développement socio-culturel du Sénégal. Il félicite particulièrement les pensionnaires du Théâtre national Daniel SORANO et leur exprime la reconnaissance de la Nation pour le travail exemplaire accompli depuis la création de ce haut lieu de culture.
Le Président de la République indique également au Gouvernement la nécessité d’assurer une formation adéquate de nos comédiens, de mettre en place un système de financement adapté de la production et de la diffusion de pièces de théâtre, qui s’inspirent de notre histoire, de notre diversité culturelle, de nos valeurs traditionnelles, ainsi que des œuvres littéraires et épopées sénégalaises et africaines.
Enfin, le Chef de l’Etat exhorte le Gouvernement à mutualiser les fonctions du Théâtre Daniel SORANO et du Grand Théâtre national, à adopter une nomenclature officielle des métiers liés aux Arts et à la Culture et à préparer un projet de loi d’orientation et de promotion des Arts et de la Culture, en vue de faire de ce secteur un puissant levier du Sénégal émergent et du Sénégal, une plateforme internationale de référence.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et le suivi de la coopération.
Le Premier Ministre dans sa communication du jour a rendu compte de la coordination de l’activité gouvernementale.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation africaine et internationale.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait part au Conseil de la préparation de la campagne rizicole de contre-saison et du suivi de la campagne de commercialisation arachidière.
Le Ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions a rendu compte des travaux de la Commission mixte de sécurité sociale entre la France et le Sénégal qui s’est réunie à Paris, du 21 au 23 mars 2016.
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a rendu compte de l’état d’avancement des différents projets et réformes.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté :
  • le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier la Convention de l’Union africaine sur la Cyber sécurité et la Protection des données à caractère personnel.
  • le projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
  • Madame Ndéye Tické NDIAYE, Ingénieur en Technologie générale halieutique, précédemment Inspecteur des Affaires administratives et financières (IAAF), est nommée Secrétaire général du Ministère de la Pêche et de l’Economie maritime, en remplacement de Monsieur Moustapha LY, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Diène NDIAYE, Ingénieur des Pêches et Aquaculture, est nommé Directeur des Industries de Transformation de la Pêche, en remplacement de Monsieur Diène FAYE, appelé à d’autres fonctions ;
  • Monsieur Diène FAYE, Docteur vétérinaire océanographe, précédemment Directeur des Industries de Transformation de la Pêche, est nommé Inspecteur technique au ministère de la Pêche et de l’Economie maritime ;
  • Monsieur Mahmoudane Ndiawar DIOP, Docteur vétérinaire, est nommé Inspecteur technique au ministère de la Pêche et de l’Economie maritime ;
  • Monsieur Kandioura DRAME, Economiste, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au ministère de l’Intégration africaine, du NEPAD et de la Promotion de la Bonne Gouvernance ;
  • Docteur Cheikh Amadou Mbacké NIANG, Chirurgien-dentiste, titulaire d’un Master en Management des établissements et services de santé, précédemment chargé des outils, du contrôle et de l’audit du service d’Odontostomatologie de l’Hôpital général de Grand-Yoff, est nommé Inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Docteur Djiby FAYE, Pharmacien, titulaire d’un Master en Gestion des Etablissements de Santé, précédemment en service au Centre Hospitalier Universitaire de FANN, est nommé Inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Monsieur Birame SENE, Planificateur, précédemment Agent-Vérificateur à la Direction centrale des marchés publics du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, est nommé Inspecteur de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale ;
  • Docteur Youssou Bamar GUEYE, Médecin, précédemment Chef du Service de prélèvement, de la préparation, de la conservation et de la distribution des produits sanguins labiles au Centre national de Transfusion sanguine (CNTS), est nommé inspecteur technique de Santé au ministère de la Santé et de l’Action sociale.

Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement

Article 9

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 Déclaration de Mary Teuw Niane sur le Saes : LeSUDES/ESRse dit indigné et surpris
Le Sudes/ESR s’est dit surpris et indigné de la sortie du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche consistant à menacer les enseignants du supérieur. Le Sudes/ESR indique être d’autant plus à l’aise pour exprimer son indignation qu’alors que le syndicat a déposé depuis septembre 2015 une plateforme revendicative auprès du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et n’a constaté aucune avancée dans les négociations, les membres du SUDES/ESR continuent à faire preuve d’abnégation et d’esprit de sacrifice assurant régulièrement leurs enseignements dans des conditions indignes d’une université qui se respecte.
Si donc le SUDES/ESR convient, avec le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, que les grèves intempestives sont irresponsables, la responsabilité de ces grèves est partagée note t’il. « Le gouvernement semble, en effet, avoir du mal à tenir ses promesses. Et le SUDES/ESR estime qu’il  convient de rectifier un certain nombre d’approximations et d’inexactitudes dans la conférence de presse du ministre. »
Sur le paiement à temps des salaires, il est révélateur, dira le SUDES, que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche éprouve le besoin de se vanter de payer les salaires à temps douze mois sur douze.
D’une part, le SUDES/ESR tient à signaler à l’opinion que cela ne correspond pas à la réalité des faits. À l’université Gaston Berger de Saint-Louis tout comme à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, les salaires sont régulièrement payés après la fin du mois comme en ce mois de mars 2016. Le budget voté cette année à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ne suffit à couvrir que 10 mois sur 12 de salaire des personnels. Il est vrai que cela constitue un progrès par rapport au budget de l’année précédente qui ne couvrait que 8 mois de salaire ! Par ailleurs, quand bien même il serait vrai que les salaires sont payés à temps, ce ne serait que normal » font-ils savoir. Le SUDES/ESR estime qu’il n’y a pas de quoi se glorifier de payer à temps le salaire d’un travailleur à la fin du mois.
Sur les 300 milliards prétendument injectés pour satisfaire la plateforme revendicative des enseignants ce chiffre correspond selon la plateforme syndicale en fait au total des prévisions de l’investissement gouvernemental sur cinq ans dans tout le système d’enseignement supérieur. Le SUDES/ESR s’est dit surpris que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche affirme qu’il s’agit là de sommes destinées à satisfaire on ne sait quelles revendications enseignantes. « Cela signifie-t-il que le ministre estime que sa politique d’enseignement supérieur est totalement dictée par les syndicats ? » se demande t’il. Le SUDES/ESR s’indigne de cet amalgame volontaire destiné à faire croire à l’opinion que des sommes astronomiques seraient déversées sur nos universités alors même que les personnels enseignants se dévouent corps et âme à un système qui est loin de leur assurer ne seraient-ce que des bureaux en nombre suffisant pour travailler. 

dakaractu



Discours du président de la République, Macky Sall, à la veille de la célébration du 56-ème anniversaire de l’indépendance du Sénégal

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Mes chers compatriotes,
Demain, 4 avril 2016, nous célébrons le 56e anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté internationale. Je suis heureux de vous adresser, à toutes et à tous, mes chaleureuses félicitations.
La célébration de la fête nationale nous rappelle que des hommes et des femmes, célèbres ou anonymes, ont payé jusqu’au sacrifice suprême le refus de l’asservissement de notre peuple. En votre nom et au mien propre, je rends hommage à nos résistants.
Je salue avec respect et affection nos anciens combattants.
Chers anciens combattants, pour votre contribution décisive à la défense du monde libre, le souvenir de vos sacrifices restera toujours gravé dans notre mémoire collective.
La fête de l’indépendance met aussi à l’honneur nos Forces de défense et de sécurité.
A vous, officiers, sous-officiers et militaires du rang, je réitère ma confiance et la fierté de la Nation.
Dans l’accomplissement de vos missions nationales et internationales, je sais combien vous tient à cœur le sens de l’honneur, du professionnalisme et du dévouement en toute circonstance.
Le thème de la fête de l’indépendance cette année, porte sur Les forces de défense et de sécurité face aux défis sécuritaires.
Ces défis nous interpellent tous, dans un contexte mondial et sous régional marqué par la multiplication des menaces.
Nous vivons, en effet, une situation inédite, qui appelle de chacun de nous un comportement citoyen et une vigilance plus accrue.
Ces défis engagent, bien sûr, l’Etat, dont l’obligation première est d’assurer notre sécurité collective.
Voilà pourquoi j’ai entrepris de renforcer les moyens humains et matériels de nos Forces de défense et de sécurité afin que leurs capacités opérationnelles soient à la hauteur des défis nouveaux.
Je tiens, également, à l’amélioration constante de la condition militaire, facteur important du moral des personnels.
C’est le sens de la construction des nouvelles infrastructures des Armées, de la revalorisation du traitement des personnels militaires et de l’allocation d’une prime forfaitaire aux blessés et aux ayant cause de militaires décédés. Cette dynamique sera poursuivie avec la mise en œuvre du projet Armées Horizon 2025.
La fête de l’indépendance est aussi celle de la vaillante jeunesse sénégalaise, des villes et de la campagne.
Parce que la jeunesse porte nos espoirs de lendemains meilleurs, l’éducation, la formation et l’emploi des jeunes restent au cœur de mes préoccupations.
C’est la priorité que j’ai assignée au gouvernement dans le nouveau projet de formation professionnelle pour l’emploi et la compétitivité, que nous avons lancé en février dernier à hauteur de 37,5 milliards de francs CFA, avec le soutien de nos partenaires et en collaboration avec le secteur privé national.
Cette initiative novatrice soutiendra à la fois l’amélioration de la formation technique et professionnelle, l’employabilité des apprenants et la compétitivité des entreprises.
Nous préparons ainsi plus de 10 000 jeunes pour un emploi immédiat dans vingt corps de métiers cible.
L’insertion professionnelle des jeunes sera aussi soutenue par des centres spécialisés dans le machinisme agricole à Diama, la mécanique poids lourds et la maîtrise énergétique à Diamniadio.
En plus de la redynamisation de l’Ecole de formation en agriculture de Bignona, deux nouveaux centres de formation professionnelle seront construits à Guédiawaye et à Thiès.
Je me réjouis particulièrement du succès du programme des Domaines agricoles communautaires et des fermes Naatangué, que nous avons financé à hauteur de 33,3 milliards FFCA. A ce jour, ce programme a généré près de 29.000 emplois sur un objectif de 60.000 d’ici 2018.
A la faveur des travaux routiers en cours et des programmes de modernisation des transports, plus de 14 000 emplois directs ont été créés. Cette dynamique sera renforcée dans le cadre du programme autoroutier et de rénovation du chemin de fer.
En outre, la relance de la production des Industries Chimiques du Sénégal, grâce à un investissement de plus de 112 milliards de FCFA, a permis de sauver 1570 emplois. Il en est de même de la Nouvelle Société Textile Sénégalaise de Thiès dont la reprise des activités a permis de consolider 435 emplois.
D’autres efforts relèvent de l’Agence nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes avec le financement de 274 projets de jeunes et l’examen en cours de 266 dossiers.
Grâce au soutien du FONSIS, des projets dans les domaines de l’énergie, de la santé, de l’hôtellerie et de l’agriculture ont permis de générer plus de 2000 emplois.
Enfin, je me réjouis de la conclusion, en mars dernier, de l’Avenant à la Convention générale de sécurité sociale entre la France et le Sénégal, qui consacre la prise en charge de nouveaux droits pour les travailleurs sénégalais en France et leurs familles.
Mes chers compatriotes,
Avec nos importantes découvertes de pétrole et de gaz, l’accélération du processus de développement de notre pays s’inscrit dans de nouvelles et heureuses perspectives.
L’Etat a pris toutes les dispositions pour que ces ressources soient exploitées dans la plus grande transparence et dans l’intérêt bien compris des générations actuelles et futures.
Au demeurant, les performances notables de notre économie se confirment, avec un taux de croissance du Produit intérieur brut établi à 6,5%. C’est la première fois en douze ans que nous atteignons un tel niveau de croissance qui nous rapproche de l’objectif moyen de 7% fixé dans le Plan Sénégal Emergent.
Cette tendance sera confortée avec les projets et programmes en cours du PSE ainsi qu’avec le lancement d’autres projets arrivés à maturation, y compris ceux du PUDC.
Avec la consolidation des fondamentaux de notre économie, l’amélioration continue de nos recettes budgétaires et la rationalisation de nos dépenses courantes, nous sommes en mesure de mobiliser encore plus de ressources internes pour financer nos efforts de développement.
Ainsi, la mise en solde des professeurs contractuels et maîtres contractuels, initialement prévue pour un effectif de 5000 enseignants dans la loi de finances 2016, sera portée à 10 000.
Et toutes les dépenses additionnelles consécutives à cette augmentation des mises en solde seront prises en charge dans la prochaine loi de finances rectificative.
Il sera aussi procédé à l’apurement des rappels d’intégration et d’avancement en instance du personnel enseignant pour un montant de 24,2 milliards de FCFA.
S’agissant de l’enseignement supérieur, les budgets des universités ont été augmentés de 20 milliards de FCFA au titre du budget national 2016, dont 7,5 milliards affectés aux œuvres sociales des étudiants.
L’incidence financière de la réforme des titres universitaires, qui s’élève à 3,3 milliards de FCFA, est entièrement prise en charge dans le budget 2016.
Au total, sur 302 milliards de FCFA alloués à l’Enseignement supérieur d’ici 2017, plus de 72 milliards sont affectés à la mise en œuvre d’accords convenus avec les syndicats, dont la plus part remontent à plus de dix ans.
Sur l’investissement dans l’éducation et la formation, je veux que chacun comprenne que le gouvernement n’a de limites que ses possibilités budgétaires ; car j’ai la pleine conscience qu’il y va de l’avenir même de nos enfants et de la Nation.
Jeunes et moins jeunes, nous savons tous ce que nous devons à l’école publique. Nous savons tous que l’école publique est le meilleur gage de l’égal accès de tous les enfants à l’éducation, sans considération de leurs origines sociales.
Quand l’école publique est soumise en permanence à des perturbations, c’est le sort de nos enfants et le destin de la Nation qui s’en trouvent sérieusement hypothéqués.
Par conséquent, j’appelle instamment tous les partenaires sociaux à prendre conscience des efforts déjà consentis et à travailler avec le gouvernement pour un système scolaire et universitaire performant, stable et apaisé.
Mes chers compatriotes,
Le 20 mars dernier, nous avons adopté par référendum la réforme constitutionnelle que je vous avais proposée afin de consolider l’Etat de droit, approfondir nos acquis démocratiques, moderniser notre système politique et renforcer les droits des citoyens sur leurs ressources naturelles et leur patrimoine foncier.
Si j’ai soumis la réforme par voie référendaire, privilège des sociétés démocratiques, c’est parce que le référendum est l’expression la plus achevée du libre choix des citoyens. C’est la parole du peuple faite loi.
L’adoption de cette réforme historique marque une adhésion sans appel à la volonté de modernisation de nos institutions.
En disant oui à la réforme, le peuple souverain a décidé de renforcer l’équilibre des pouvoirs et d’élargir les compétences du juge constitutionnel.
En disant oui à la réforme, le peuple souverain a décidé de rationaliser le système des partis politiques.
En disant oui à la réforme, le peuple souverain a décidé d’élargir la représentation parlementaire à sa diaspora.
En disant Oui à la réforme, le peuple souverain a décidé de protéger sa Constitution et de rendre irréversibles la forme républicaine de l’Etat, le mode de scrutin majoritaire à deux tours, la durée et la limitation des mandats présidentiels.
Voilà, mes chers compatriotes, et vous l’avez si bien compris, quels étaient les enjeux du référendum. Je salue, à nouveau, la grande maturité politique dont notre peuple a encore une fois fait preuve.
En concertation avec toutes les parties prenantes, le gouvernement prendra les dispositions nécessaires à la mise en œuvre diligente de la réforme. Dans le même esprit de réforme et de rénovation, je présiderai les 9 et 10 avril 2016 un Forum national de l’administration. Je souhaite que cet exercice d’échanges francs et critiques soit l’occasion de jeter les bases d’un renouveau du service public ; pour une administration plus moderne, plus performante dans son fonctionnement, plus efficace dans ses résultats et plus accueillante à l’endroit des usagers.
A présent, mes chers compatriotes, et c’est l’appel que je lance à toutes et à tous, remettons-nous au travail. C’est un impératif patriotique. Seul le travail nous fera avancer ; parce que le travail, c’est ce qui fait vivre nos foyers ; le travail, c’est ce qui fait vivre nos villes et nos campagnes ; le travail, c’est ce qui fait vivre la Nation, consolide notre liberté et conforte notre souveraineté nationale. Ainsi, serons-nous chaque jour davantage les bâtisseurs de notre propre destin, pour que vive notre chère patrie, dans la paix, l’unité et la prospérité !
Bonsoir et bonne fête de l’indépendance.


Article 7

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Seule Aïda Ndiongue a pris un an avec sursis et 2 millions d’amende, les autres relaxés 

xalimasn.com

Ouf de soulagement pour Aïda Ndiongue! La responsable libérale a été condamnée à un an assorti du sursis pour escroquerie, mais elle est relaxée des autres chefs d’inculpation. Mieux, ses biens ne seront pas saisis comme l’a souhaité le Procureur général. Abdoul Aziz Diop et Cie sont libres comme l’air.
La cour d’appel de Dakar a vient de rendre sa décision dans le dossier d’Aïda Ndiongue. La responsable libérale n’a été condamnée que pour le chef d’inculpation d’escroquerie, car le juge a estimé qu’il y a bien eu des manœuvres frauduleuses de la part de sa part, afin de gagner les marchés. Pour la sanction, Aïda Ndiongue est condamnée à un an assorti du sursis et 2 millions de francs d’amende. S’agissant des chefs d’exercice illégal de commerce et du délit de faux, la sœur à Bakhao Ndiongue a été tout bonnement relaxée. Mieux, le juge d’appel n’a pas suivi le Procureur général qui avait demandé la confiscation définitive des biens et qui s’élèvent à 13 milliards de nos francs.
Les demandes en réparation de 20 milliards de francs réclamées par l’agent judiciaire ne lui seront pas allouées puisque le juge Chimère Diouf a estimé qu’il n’avait pas fait appel de la décision, au grand bonheur de l’ancienne mairesse des Hlm. Selon le juge, l’Agent judiciaire de l’Etat ne pouvait pas bénéficier de l’appel du Procureur qui ne porte que sur l’action publique et non sur toutes les dispositions du jugement.
Abdoul Aziz Diop et Cie libres…
Bienheureux, par ailleurs, sont Abdoul Aziz Diop, Madou Sall et Amadou Ndiaye. En effet, ils ont tous été renvoyés des fins de la poursuite, pour dire qu’aucune infraction n’a été retenue à leur encontre.
En outre, du côté des avocats d’Aïda Ndiongue, on ne semble pas trop être content du chef d’escroquerie qui leur est imputé. Mais, Me Mbaye Jacques Ndiaye et Cie ne veulent pas se prononcer pour le moment.
Alassane DRAME


Article 6

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 Taïb Socé bénéficie de la grâce présidentielle
La famille et les amis de Taïb Socé peuvent pousser un ouf de soulagement. Selon une source de People.sn, le prêcheur a été libéré ce matin car faisant partie des 565 prisonniers ayant bénéficié de la grâce présidentielle. 
Taïb Socé qui devait purger encore 3 ans de prison, hume à nouveau l'air de la liberté et peut ainsi retrouver les siens.. 

dakaractu


Article 5

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Pourquoi vous ne devriez pas prêter vos écouteurs

Vous ne partagerez pas que de la musique...

Interrogée par Buzzfeed, Kelly Reynolds, une experte en bactériologie, a confirmé nos craintes: les écouteurs sont un nid à bactéries, comme tant d'autres choses qu'on utilise beaucoup et qu'on nettoie rarement. Elle précise d'abord que la cire de nos oreilles joue un rôle primordial en nous protégeant des germes et de la poussière. "Chaque personne a sa propre "flore bactérienne" dans ses oreilles, c'est normal et ça ne cause pas d'infection."
Mais la situation devient problématique quand on se déplace partout avec ses écouteurs, on les met dans son sac, on les dépose sur une table... "Des études démontrent que les écouteurs multiplient par 11 le nombre de bactéries présentes dans nos oreilles", explique le professeur Reynolds. 

Voilà pourquoi prêter vos écouteurs est une mauvaise idée. Même s'il s'agit de votre partenaire ou d'un membre de votre famille, vous allez recevoir de nouvelles bactéries de sa part qui peuvent causer des boutons, des champignons, des otites ou d'autres infections. "Les bactéries se développent encore plus facilement dans l'oreille, surtout si vous utilisez des écouteurs quand vous faites du sport, avec la chaleur et la transpiration." 

La solution? Désinfectez vos écouteurs au moins une fois par semaine et rangez-les sagement dans une petite boîte, juste pour vous. 

 Dakaractu

Article 4

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Guantanamo Bay: Libya pair transferred to Senegal

Two Libyans held at the US military prison in Guantanamo have been flown to Senegal, the Pentagon said.
Salem Abdu Salam Ghereby and Omar Khalif Mohammed Abu Baker Mahjour Umar are the first of a group of about a dozen inmates expected to be resettled, US media report.
The two transfers mean there are now 89 detainees left in Guantanamo.
President Barack Obama has presented Congress with a plan to close the facility but faces stiff opposition.

"We are taking all possible steps to reduce the detainee population at Guantanamo and to close the detention facility in a responsible manner that protects our national security," US Secretary of State John Kerry said in a statement.
Mr Ghereby was approved for transfer under a presidential executive order from 2009. US security services decided it was no longer necessary to hold Mr Umar last August.
Mr Obama promised to close Guantanamo in 2009 and wants to transfer the remaining detainees to their home countries or to US military or civilian prisons.
In February, he said the prison was "contrary to US values" and undermined the country's standing in the world.
But Congress remains deeply opposed to terror suspects being held on US soil.
A total of 780 men have been held at Guantanamo Bay since 2002, the vast majority without charge or criminal trial.
Of those who have left the prison, nearly 100 have been resettled across 26 countries, others have been freed and one man has been sentenced to life in prison after standing trial in a US civilian court.

Article 3

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Libyens de Guantanamo Bay à Dakar : Ces accusations graves qui pesaient sur eux Libyens de Guantanamo Bay à Dakar : Ces accusations graves qui pesaient sur eux
 Les deux Lybiens Omar Khalif Mohammed Abu Baker Mahjour Umar et Salem Abdul Salem Ghereby qui devraient bénéficier d’un asile humanitaire dans notre pays ave la fermeture de la prison de Guantanamo étaient poursuivis par l’Etat américain d’accusations de terrorismes gravissimes.
En effet, selon « Jotay » qui cite le « Monde », le premier nommé était soupçonné d’avoir aidé à reconstruire des camps d’Al-Qaida après leur destruction par des bombardements américains en 1998, et avait été identifié comme un formateur en armes et explosifs. Salem Abdul Salem Ghereby, lui, avait fréquenté plusieurs camps d’entraînement d’Al Qaida et reçu une formation aux explosifs dispensée par un expert du réseau islamiste.


Dakaractu


Conseil des ministres du 06 avril 2016

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Le Président Macky SALL a réuni le Conseil des Ministres ce mercredi 06 avril 2016 à 10 heures au Palais de la République.
A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat renouvelle ses félicitations au Gouvernement et aux forces de défense et de sécurité, suite à la parfaite organisation du grand défilé civil et militaire ainsi que des autres manifestations marquant la célébration du 56ième anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale. Il confond dans ses félicitations nos valeureux anciens combattants, les élèves, les mouvements de jeunesse, les collectivités territoriales, toutes les forces vives de la Nation, pour leur mobilisation exceptionnelle et leur participation remarquable à la réussite de la fête nationale de l’indépendance.
Le Président de la République, magnifiant par ailleurs le patriotisme et le professionnalisme de nos forces de défense et de sécurité, réitère son engagement à poursuivre l’œuvre de modernisation du système national de défense et de sécurité, par le renforcement soutenu de nos unités en moyens humains et matériels de dernière génération. A ce titre, il exhorte nos concitoyens à accorder une priorité fondamentale au civisme, au respect des valeurs de la République, à la consolidation de la discipline nationale, au culte du travail et de l’excellence, dans notre marche résolue et solidaire vers l’émergence.
Abordant la préparation de la fête du travail du 1er mai 2016 et la consolidation du dialogue social tripartite Etat - syndicats – patronat, indispensable pour la mise en œuvre sereine des réformes sectorielles et des programmes publics, le Chef de l’Etat rappelle au Gouvernement l’impératif d’assurer avec les partenaires sociaux, l’évaluation du pacte de stabilité sociale et d’émergence économique signé en 2014, à l’issue de la première conférence sociale. Pour la deuxième édition qui porte sur la modernisation du système national de retraite, instrument fondamental de la politique de protection sociale et de gestion des personnes âgées, il convient d’ouvrir, sans délai, les concertations nécessaires à la revalorisation notable et à la mensualisation souhaitable des pensions de retraite.
Dans la même perspective, le Président de la République indique au Gouvernement la nécessité de veiller également à l’ancrage d’un dialogue social sectoriel, notamment dans les secteurs stratégiques de l’Education et de l’Enseignement supérieur, et demande au Premier Ministre de finaliser rapidement les procédures de liquidation des entreprises en difficulté, de recevoir toutes les centrales syndicales ainsi que les organisations patronales, en vue d’évaluer l’état de prise en charge des cahiers de doléances de l’année 2015.
Concluant sur ce point, le Chef de l’Etat, après avoir encouragé le Gouvernement à associer le Conseil Economique, Social et Environnemental dans la dynamique de consolidation du dialogue social et salué le travail accompli par le groupe des parlementaires facilitateurs, adresse ses félicitations au Ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les Institutions, pour la signature récente, de l’avenant de la Convention générale de sécurité sociale entre la France et le Sénégal, portant sur l’amélioration et la meilleure gestion des droits des travailleurs sénégalais et de leurs familles en France.
Le Président de la République a clos sa communication sur son agenda diplomatique et le suivi de la coopération, en informant le Conseil de sa participation, du 13 au 15 avril 2016 à Istanbul en Turquie, au 13ième Sommet de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI).
Le Premier Ministre, après avoir félicité le Président de la République, Chef suprême des armées, pour ce défilé exceptionnel à tout point de vue et tiré, pour le compte du Gouvernement, les enseignements de son message à la nation du 03 avril 2016, a rendu compte de la coordination de l’activité gouvernementale.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point de la situation sous régionale, africaine et internationale. Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point de la conjoncture économique nationale et internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a fait part au Conseil de la préparation et de la mise en place de l’équipement pour de la campagne rizicole de contre-saison ainsi que du suivi de la campagne de commercialisation arachidière.
Le Ministre de la Fonction publique, de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service public a présenté l’agenda du Forum national de l’Administration, prévu les 09 et 10 avril 2016 au Centre international de Conférences Abdou DIOUF de Diamniadio (CICAD).
Le Ministre de l’Intégration Africaine, du NEPAD et de la Promotion de la Bonne Gouvernance a rendu compte de la mise en œuvre par le Sénégal du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP).
Le Ministre auprès du Président de la République en charge du Suivi du Plan Sénégal Emergent a fait le point de l’état d’avancement des différents projets et réformes.
Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté :
  • le projet de décret portant application de la loi n°2014-14 du 28 mars 2014 relative à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac ;
  • le projet de décret portant statut du personnel des Etablissements publics de Santé.
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante :
  • Docteur Khadissatou GAYE ALAINCHAR, Médecin spécialiste en santé publique, en Médecine physique et en Réadaptation fonctionnelle, précédemment Directeur du Centre Talibou Dabo de Grand-Yoff, est nommé Directeur général de l’Action sociale, en remplacement du Docteur Cheikh NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.
Le Ministre, Porte-parole du Gouvernement

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Mary Teux Niane, ministre de l’Enseignement Supérieur : « Les étudiants auront une année normale avec deux sessions »

 
Le ministre de l’Enseignement Supérieur est plus que jamais déterminé à faire respecter le calendrier universitaire, du point du vue de la tenue des examens et sessions. « Il y aura une année normale avec deux sessions d’examen », a tenu à préciser le ministre qui était invité de N'gary Faye dans l’émission «Le Point » de la Rts. 
Car selon lui, il est hors de question qu’on sacrifie les étudiants sur l’autel de revendications qui sont déjà satisfaites.  Mieux, ajoutera-t-il, les étudiants ont droit à faire cours normalement et à effectuer correctement leurs examens. 

 «On n’a pas le droit de les (étudiants) priver du savoir et de la bonne éducation. Nous devons tous nous battre pour préserver l’importance des universités et écoles publiques », souligne Mr. Niane qui rappellera dans la foulée que d'ici 2025, on aura 17 Isep au Sénégal et la mise en place par le gouvernement d’infrastructures qui n'ont jamais été construites depuis 1960, comme la plateforme mutualisée de 100 laboratoires, etc... 

« Quand on met autant de moyens, le syndicat doit comprendre en reprenant le travail. Parce que les étudiants ont droit à recevoir des cours normalement et  subir des examens comme il se doit »,  insistera le Ministre de l’Enseignement Supérieur.


Dakaractu



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Crise scolaire : dialogue de sourds entre Syndicats et l’État

Le dialogue social a été préconisé comme unique solution devant mettre fin à la guéguerre qui existe entre l’état du Sénégal et les centrales syndicales. C’est ainsi qu’à l’issue de la rencontre qui a eu lieu, hier jeudi 7 avril autour du thème « les syndicalistes du secteur éducatif et la perception des dirigeants politiques en question », dans les locaux du centre de recherche ouest-africain (WARC), quelques recommandations ont été faites, à l’endroit des deux camps, même si, les syndicalistes, ont affiché une certaine hostilité.
Les rapports conflictuels qui existent entre les syndicats d’enseignants et l’état du Sénégal sont de plus en plus récurrents. C’est en ce sens, qu’un cadre d’échanges a été mis en place hier, jeudi 7 avril au WARC, enfin de sauver le système éducatif sénégalais des grèves intempestives, mais également de dégager des pistes de solutions et de parvenir à une harmonisation des relations afin d’avoir un climat plus apaisé. 
Pour réussir ce pari, le professeur Iba Der Thiam, historien agrégé, ne voit comme seule et unique alternative que le dialogue social. En effet, il pense que « les acteurs doivent se mettre autour d’une table, pour pouvoir passer en revue les raisons profondes qui sont à la base du conflit afin de trouver les bases d’un accord valable pour toutes les parties ». Gage de paix et de stabilité durable si on en croit à l’ancien ministre de l’Éducation nationale. 
Toujours dans ce même cadre de réflexion le professeur Thiam a profité de cette occasion pour faire une invite aux deux protagonistes « à prendre en compte l’intérêt supérieur de la nation » et plus particulièrement à l’état à « revoir les conditions de vie et de travail des enseignants ». Il a, par la même occasion chanté les louanges de l’école sénégalaise à travers la bonne notoriété internationale dont elle jouissait. « Troisième, il y a quelques années dans le classement de Shanghaï, aujourd’hui 33e », un tel recul devrait susciter l’interrogation de tout un chacun des différents acteurs à savoir l’état en premier lieu, les enseignants et les étudiants, souligne-t-il. 
Le professeur Thiam a, par contre, affiché tout son optimisme quant au dénouement heureux de la crise, car, estimant avoir « constaté une volonté commune de dialoguer », a- t-il laisser entendre en dernier lieu. 
La présidente du Haut Conseil du dialogue social, Innocence Ntap Ndiaye, n’en dira pas moins. Selon elle « la promotion d’un climat apaisé passe forcément par le dialogue social. Mais, regrette-t-elle, aujourd’hui la grève est devenue uniquement mode de règlement des conflits ». Madame Ndiaye s’est dit prête à jouer pleinement, à travers sa structure, le rôle de régulateur social. Chose que ne semblent guère apprécier les syndicalistes d’enseignants qui, à l’image de Mamadou Lamine Dianté, secrétaire général du Grand Cadre, avance que « le Haut Conseil n’est pas notre interlocuteur. S’il pense que son rôle consiste simplement à celui de bouclier pour transformer les ministres en cagoulards ce n’est pour autant que nous arrêterons les revendications ». 
Et M. Dianté de demander ensuite aux ministres « de prendre leurs responsabilités » pour essayer de trouver des solutions pérennes et durables. Sur la continuité ou non de la grève, les syndicalistes semblent être sans répit. « L’inquiétude des parents d’élèves a encore de beaux jours devant elle y compris les perturbations du système éducatif. En réalité tant que le gouvernement négocie avec les syndicats d’enseignants en tenant compte des exigences des bailleurs de fonds, on ne sortira jamais de l’ornière », a-t-il laissé entendre. Reste à savoir lequel des deux camps aura le dernier mot.

Auteur: Rougui SAKHO-Sud quotidien - Seneweb.com



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Senegal truckers tired of taking the long way around The Gambia

  • 13 April 2016
  • From the section AfricaSenegal-Gambia border
Travellers between north and south Senegal are currently being forced to take a 10-hour detour because of a trade dispute between Senegal and The Gambia, an Anglophone enclave which sticks into the heart of its much larger, French-speaking neighbour.
Of all the artificial borders drawn up in Africa by the colonial powers in the 19th Century, one of the most ridiculous has to be that between the two countries.
The Gambia, colonised by the British, is a thin sliver of land either side of the eponymous river, surrounded on three sides by Senegal.
On either side, people share the same culture and local languages but those who have been to school are divided by the language in which they were instructed.
And the tiny Gambia is always keen to remind its much larger neighbour of its independence.
By far the shortest route between the southern Senegalese region of Casamance and the capital, Dakar, goes through The Gambia but the border is currently closed, meaning the 420km (260-mile) journey journey is now twice as long. Travellers and lorries are driving all the way round The Gambia, via Tambacounda.
 Map showing the two routes from Ziguinchor to Dakar in Senegal
On the roads, which are often more pot hole than tarmac, this means that a five-six hour journey can - depending on the ferry crossing - take up to 15 hours.
The frontier is shut because of a two-month blockade by Senegalese drivers after the levy they have to pay to cross The Gambia was increased 100 times - from 4,000 CFA per truck to 400,000 CFA (£500; $700;.
Apart from revenue from tourism and peanuts, the country has little income and so is keen to preserve the money it earns from taxing travellers.
Hauliers' unions say no official explanation has been given and denounce a "unilateral decision", which, they say, violates the West Africa regional block Ecowas principle of free movement of people and goods within the region.
The Senegalese government has not been vocal about the issue, no doubt for fear of exacerbating relations with its neighbour.
Among those hardest-hit by the border closure are those transporting goods into The Gambia and desperately waiting for it to reopen.
One driver who has been waiting on the border crossing for two months, says they cannot wait for the border to be reopened.
"We are tired of this," Khadim Lo says. "We are desperate. They must help us [by building a bridge or] allow free movement between the two countries. We don't have any coins in our pockets."
Another man says he has been waiting to take material to his building site in Gambia for more than a month.
Trucks at Senegal-Gambia borderImage caption The closure has affected many travellers
Senegal's Foreign Affairs Minister, Mankeur Ndiaye, said they were waiting for Gambian officials to propose a meeting date after one due early this month in Dakar was postponed.
An Ecowas delegation has visited The Gambia and Senegal but did not speak publicly on the issue. It promised to release the results of its consultation soon.
The normally hectic town of Keur Ayib on the Senegal-Gambia border is far quieter than usual because most traffic is going via Tambacounda.
There is a line of trucks parked on one side of the road, just a few metres from the border, waiting to cross into The Gambia, but they are not allowed to.
Travellers are free to cross the border on motorbikes and donkeys and then take mini-buses on the other side to continue their journey.
Rather than taking the long way round, some people have decided to split their journey into three stages - take one bus from Dakar to the border, another to cross The Gambia and then another from the border to Ziguinchor.

Vegetable shortage

Senegal-Gambia borderImage caption Some people use horses and donkeys to cross the border
Each stage involves haggling for the fare, loading up the luggage and waiting for a new bus to fill up before it starts its journey, so most people prefer to travel via Tambacounda despite the extra distance.
While passengers are frustrated about the closure of the border, the bus drivers are happy to profit.
"The ticket price has increased and we are happy because we make more money," said one of the bus drivers.
Local people have also been benefiting from the closure, with young ladies selling water, snacks and other drinks to stranded passengers and truck drivers at the bus station.
The closure of the border has caused price increases and a shortage of cooking gas and other basic commodities in Gambia, a journalist told there told the BBC.
Some people are now using firewood and charcoal to cook, Aisha Dabo says.
There is little business going on in the main market of The Gambia's capital, Banjul, as the border closure means there are less vegetables and other fresh produce which are mainly imported from across the border in Senegal, she added.
Senegal-Gambia borderImage caption Senegal and The Gambia have long been involved in a border disputes
Similar disputes and the occasional border closure have broken out several times in recent years but this is one of the longest.
The journey between Ziguinchor and Dakar via The Gambia also illustrates another major problem still holding back many African countries - a lack of infrastructure.
It was earlier last year that the foundation stone was laid for a long-mooted bridge across the River Gambia in order to significantly reduce journey times.
But since then, things have not moved even though Senegalese authorities have said that the funding of the 942-metre bridge had been secured through the African Development Bank.
It should cost 53bn CFA (£63m; $90m) and construction should last 36 months.
But many in Senegal suspect Gambia's President Yahya Jammeh does not really want the bridge, as it would remove his main source of leverage over his much larger neighbour.
Even when the border is open, travellers and lorries full of produce often have to wait for hours on end to board one of just two ferries which cross the river.
With a bridge and a good road, it should be possible to travel from Dakar to Ziguinchor in about five hours, rather than a full day, or sometimes even longer.
People at Senegal-Gambia border
But with the seeming impasse on the bridge, another option has been mooted - building a bypass around The Gambia, which would not go as far as Tambacounda and would also avoid towns and villages on the way in order to speed up journey times.
Another option is the Atlantic Ocean.
Senegal's government has introduced two new boats sailing between Dakar and Ziguinchor.
But ever since the 2002 sinking of the Joola on that route - Africa's worst maritime disaster, which left at least 1,800 people dead - many in Casamance have been wary of sea travel.
This latest border row has also highlighted the isolation of Casamance, seen as one of the main factors behind the rebellion that has rumbled on in Senegal's most fertile region since 1981.
If Senegal's government wants to end that conflict, it needs to find a way to improve trade and transport links between Casamance and Dakar.

RADICALISATION DU BLOCUS DE LA TRANSGAMBIENNE

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Des camions guinéens bloqués à la frontière RADICALISATION DU BLOCUS DE LA TRANSGAMBIENNE : Des camions guinéens bloqués à la frontière

« Le Témoin » quotidien nous apprend que le blocus de la transgambienne commence à prendre des allures de représailles.  Depuis quatre mois que dure le blocus de la transgambienne rappellent nos confrères,  seuls les chauffeurs et routiers sénégalais faisaient le contournement c’est-à-dire évitaient de traverser la Gambie pour se rendre en Casamance et le reste du pays.  Et jusque-là, les camions et véhicules bissau-guinéens et guinéens de Conakry désirant aller en Gambie n’étaient pas concernés par ce blocus.  Mieux, les syndicalistes sénégalais laissaient passer librement tout gros-porteur bissau-guinéen quittant le port de Dakar pour se rendre à Bissau. Et vice-versa. Seulement, depuis hier, les syndicalistes sénégalais ne comptent plus laisser les routiers bissau-guinéens ou guinéens de Conakry traverser la Gambie. Ou alors aller en Gambie. Motif de cette radicalisation ?  El Hadj Mansour Ndir de la Cnts/Fc et chargé des revendications des routiers explique : «  Le président Jammeh a fait une sortie virulente pour attaquer notre cher président Macky Sall qui n’est pour rien dans cette affaire. Nous n’avons pas digéré que Jammeh passe par nous, syndicalistes, pour manquer de respect à notre président de la République connu pour sa tolérance et sa diplomatie pacifique. Pour que de telles attaques ne se répètent plus, nous avons décidé de ne plus laisser passer les routiers guinéens. Ils n’ont qu’à faire le contournement comme tout le monde » fulmine Mansour Ndir dans les colonnes du « Témoin » pour justifier cette radicalisation synonyme  de « représailles » économiques contre la Gambie dont le président a commis le « crime », selon lui, d’insulter le nôtre.  
 Dakaractu





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Forum national de l’administration-Allocution d’ouverture de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la république du Sénégal

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Diamniadio, Centre International de Conférences Abdou DIOUF (CICAD), 9 avril 2016

Monsieur le Premier Ministre,
Messieurs les Ministre d’Etat,
Mesdames, Messieurs les Ministres,
Mesdames, Messieurs honorables Députés,
Mesdames, Messieurs les membres du Conseil Economique, Social et Environnemental,
Monsieur le Vérificateur général du Sénégal,
Messieurs les Gouverneurs de région,
Madame, Messieurs les Délégués généraux,
Mesdames, Messieurs les autorités administratives et locales,
Mesdames, Messieurs les Secrétaires généraux, Directeurs de cabinet,
Directeurs généraux, Directeurs et Hauts cadres de l’Administration,

Mesdames, Messieurs,
On dit, avec raison d’ailleurs, que l’administration est le point cardinal de toutes les politiques de développement.
Celui duquel partent toutes les dynamiques et celui vers lequel évidemment elles aboutissent.
Je me suis forgé cette conviction en sillonnant le territoire national dans ses coins et recoins, pour aller à la rencontre des populations, dont les besoins immenses et divers convergent tous vers une aspiration commune et légitime : le bien-être.
Assurer et améliorer le bien - être équitable de toutes les couches de la population, telle est la vocation de l’Etat, incarnée par l’Administration. Voilà donc qui me fonde, aujourd’hui, à partager avec vous, ici à Diamniadio, ville symbole du Sénégal du futur, tout l’intérêt que je porte à cette rencontre entre l’exécutif et son bras séculier.
De plus, l’évocation du centre qui nous accueille porte le nom d’un fonctionnaire émérite qui a marqué l’administration sénégalaise par sa compétence, sa rigueur et son sens de l’Etat. Je veux nommer le Président Abdou DIOUF.
C’est pourquoi, je ne peux m’empêcher de vous témoigner tout mon plaisir de me retrouver ici, accompagné du Gouvernement et entouré de tous ceux-là qui, dans leur posture d’agents publics, ont fait le serment de se mettre au service exclusif de l’Etat.
C’est pourquoi, je ne peux, m’empêcher aussi de rappeler la riche histoire de notre Administration façonnée depuis la période coloniale et qui nous vaut un Etat stable et solide porté par une administration de qualité.
Mesdames, Messieurs,
En initiant ainsi cette rencontre, inédite, parce qu’elle porte la marque de mon ambition pour une administration rénovée, je n’ai fait que prendre la pleine mesure de l’irrévocable nécessité d’un dialogue fécond, direct, loyal, prospectif et constructif entre le Chef de l’Etat et ses missi dominici, autrement dit entre le Président de la République et ses missionnaires au service de la République que vous êtes.
Il ne pouvait en être autrement, car ce n’est qu’autour de la vérité et de la franchise, que s’engagent les ruptures nécessaires dans toute organisation. Ce n’est qu’avec la vérité et la franchise, drapées dans un courage résolu, que l’on vainc les hésitations, et les résistances.
Dès lors, c’est le lieu et le moment de rappeler les valeurs qui doivent toujours vous guider dans vos rapports avec l’Etat et les usagers du service public.
Les agents de l’Etat doivent adopter le culte du résultat, et cultiver davantage, la probité, la loyauté, l’humilité, le respect et la courtoisie. L’Administration doit être au service des usagers par sa proximité, sa simplicité, sa disponibilité, sa célérité, la lisibilité et l’efficacité de son action.
Madame, Messieurs,
Au-delà de ces vertus, l’administration est tenue de s’adapter aux exigences citoyennes.
S’adapter pour être une Administration de développement, afin de mieux assumer son rôle de locomotive, vecteur de compétitivité et de performance. C’est la raison pour laquelle, je tiens à ce que notre Administration occupe toute sa place dans l’instauration d’un environnement propice à la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE).
Le PSE ouvre une perspective de réformes et d’innovations pour consolider la stabilité institutionnelle, la durabilité des performances macroéconomiques, et un climat des affaires favorable à l’investissement et au développement du secteur privé.
Il me faut rappeler que le PSE a pour ambition de promouvoir une croissance économique forte et inclusive, par une meilleure répartition des richesses nationales et une plus grande protection des couches vulnérables.
C’est dans cette optique que j’ai engagé le Gouvernement à accorder une priorité absolue à la modernisation générale de l’Administration.
Mesdames, Messieurs,
Avec la révision de la Constitution, la réforme foncière et l’Acte III de la Décentralisation, qui consacre la territorialisation des politiques publiques, la modernisation de l’Administration constitue le quatrième pilier du socle des réformes majeures que j’ai initiées.
Cela, d’autant plus vrai que la sphère publique s’est élargie au fil des années. Elle s’est diversifiée. Elle est devenue complexe, notamment, par les missions, les statuts et les objectifs des entités qui la composent.
En outre, les principes intangibles du Service public - que sont l’égalité, la continuité et la mutabilité - ont connu un regain d’intérêt avec la consolidation de nos acquis démocratiques, l’ancrage des mécanismes de bonne gouvernance qui induisent un contrôle citoyen plus accru de l’action publique.
Au constat, notre Administration est, à bien des égards, obligée d’apporter les changements nécessaires aux fins d’actualiser son organisation, ses méthodes et ses procédures.
Le film documentaire que nous venons de suivre, ainsi que le rapport de l’étude diagnostique sur le Service public et les résultats de l’enquête de satisfaction des usagers, dont j’ai pris connaissance, confirment avec pertinence cette situation.
C’est dire que, malgré les avancées significatives, nous ne devons plus faire les choses comme avant.
Voilà qui fonde l’impérieuse nécessité d’élaborer et de mettre en œuvre un nouveau modèle d’administration publique, gage de notre performance et de notre compétitivité.
Mesdames, Messieurs,
Changer pour le meilleur, c’est la finalité de l’exercice spécial qui nous réunit ici.
Conservons donc ce qui marche et améliorons ce qui doit l’être. Mais osons surtout changer ce qui ralentit notre marche vers le progrès.
Vous devez, dès lors, restaurer, renforcer et redynamiser les capacités stratégiques et opérationnelles de notre Administration.
Il vous faut également engager la refondation des structures, des procédures et du management des ressources humaines de l’Administration.
Telle doit être la nouvelle posture de l’administration dans notre dynamique d’émergence.
Bien entendu, elle exige un nouvel état d’esprit réformateur dans l’exercice de la fonction publique, la déconcentration des responsabilités, la rénovation de vos relations avec le bien public.
Cette posture, Mesdames, Messieurs, je vous invite à l’assumer, pleinement et avec enthousiasme.
Mesdames, Messieurs,
J’imagine vos interrogations : comment y parvenir ?
D’abord, par votre propre relation au travail, à la rigueur, à l’assiduité et à la ponctualité.
Ensuite, par votre aptitude à vous approprier les meilleures pratiques et les outils de la modernité, à savoir :

  • l’information adéquate des usagers ;
  • la dématérialisation des procédures administratives ;
  • la modernisation du système d’archivage et de conservation des données ;
  • la généralisation des contrats d’objectifs et de performances ;
  • et la mutualisation des ressources pour une action publique efficiente.
Je sais que des réformes importantes ont été déjà engagées dans ces domaines, mais il nous faut aller plus loin.
Enfin, par la reddition des comptes. Une obligation primordiale.
En définitive, un service de qualité n’est assuré que si les ressources humaines sont engagées et motivées parce que mises dans des conditions de compétition et de performance.
Je reste, de surcroît, convaincu de la nécessité d’encourager davantage les agents publics à cultiver le sens de l’Etat et du mérite, valoriser les ressources humaines de notre administration et sa bonne réputation sur le plan international.
Mesdames, Messieurs,
L’Etat, dans notre société, demeure le recours des populations.
C’est pourquoi, tout doit être fait afin que les offres et les demandes de service public convergent vers une satisfaction mutuelle de l’usager, du contribuable et de l’agent public ; ce qui appelle une rénovation continue du service public pour consolider un Etat performant.
C’est pourquoi, Servir l’Etat demeure un sacerdoce.
Servir conformément à l’engagement qui vous lie à l’Etat, c’est ce qui est attendu de chacun de vous.
Je n’ignore pas que vous vous y attelez avec professionnalisme, dévouement et passion.
La Nation fonde beaucoup d’espoir en notre Administration, à laquelle je renouvelle ma confiance et lui adresse mes félicitations et encouragements.
C’est dans ce sillage que j’attends le plan d’actions prioritaires que vous me proposerez, en vue de moderniser notre appareil administratif et améliore la qualité du service public, en vue de consolider notre dynamique d’émergence.
En félicitant Monsieur le Premier Ministre et Madame le Ministre chargé du Renouveau du Service public pour l’organisation de cette importante rencontre, je déclare ouvert le Forum National de l’Administration et vous remercie de votre aimable attention.
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